New York (États-Unis).– Les brokers du FBI qui ont perquisitionné la luxueuse résidence de Donald Trump, en début de semaine, sont partis avec plusieurs enveloppes scellées sous le bras. Les paperwork que les fédéraux ont saisis sur place, selon l’inventaire publié ce vendredi 12 août, apparaissent si sensibles qu’ils ne sont habituellement consultés qu’en lieu sûr, dans des bâtiments ultra-sécurisés du gouvernement américain. Ce que contiennent exactement ces paperwork reste un mystère.
Il s’agit en partie de mémos classés prime secret ou classés « TS/SCI », une catégorie plus restrictive encore, parmi laquelle pourraient se trouver des informations kinfolk à la query des « armes nucléaires ». Aucun détail n’a filtré sur lesdites armes, « y compris s’il s’agissait d’armes appartenant aux États-Unis ou à un autre pays », a détaillé le Washington Put up. On ne sait pas non plus, à l’heure actuelle, si « ces paperwork ont été récupérés dans le cadre de la perquisition ».
Il pourrait également s’agir, ajoute le New York Instances, « de programmes secrets and techniques menés contre des adversaires ou le développement de applied sciences spéciales de surveillance et d’armement, tels que de nouveaux varieties […] de missiles hypersoniques ». Le fait que ce kind d’data soit dans la nature, à Mar-a-Lago, en Floride, présentait un tel risque pour la sécurité nationale des États-Unis que la justice américaine a pris la décision, inhabituelle, d’aller récupérer de pressure les archives présidentielles.
