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Santiago (Chili).– « Il est difficile de dire qui je suis automobile cet État ne nous reconnaît pas. Je ne peux pas dire qui je suis en gardant la tête haute. Nous voudrions marcher librement. Nous avons grandi avec vous, nous avons marché, nous avons travaillé, nous avons aussi participé à la building de ce pays, mais cet État ne nous reconnaît pas, il nous renie et se moque de nous. »
La Conference constitutionnelle avait à peine un mois d’existence lorsque Luis Vásquez Chogue y a témoigné, la voix tremblante et au bord des larmes, comme représentant du peuple Selk’nam. Dans une vidéo devenue virale, on le voit ému à l’évocation de son histoire familiale.
Les Selk’nam, qui viennent du sud du Chili, de la Grande Île de la Terre de Feu, ont été victimes d’un génocide. On ignore toujours le nombre de victimes, automobile ce peuple, également connu comme « Ona », a été invisibilisé par l’histoire officielle chilienne et il n’est pas reconnu comme peuple vivant. La présence de José Luis Vásquez Chogue à la Conference n’est, elle, pas passée inaperçue.
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