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Il était tout à la fois le doyen, l’idéologue, la determine historique du djihad mondial et, ce n’est pas accessoire, le dernier des commanditaires du 11-Septembre dans la nature. Ayman Al-Zawahiri est donc mort à l’âge, respectable pour un terroriste, de 71 ans.
Comme d’autres figures, il est réductible à une picture : avec son turban blanc, ses grosses lunettes, sa longue tunique sur un pantalon bouffant, et ses prêches d’où la colère déborde. Mais, pour mesurer la froide et sanguinaire détermination de celui qu’un drone américain vient de réduire en cendres, il vaut mieux se pencher sur une anecdote horrible (et méconnue).
En 1994, alors que l’organisation terroriste Al-Qaïda a ses quartiers à Khartoum, au Soudan, le renseignement égyptien apparel deux garçons de 13 ans, le fils du comptable de Ben Laden et celui d’un dignitaire qaïdiste. Les brokers les droguent, puis les sodomisent. Des photographs sont prises. Sous la menace de voir ces clichés divulgués à leurs familles, les enfants sont contraints de placer des micros dans leurs propres foyers.
Deux bombes destinées à Ayman al-Zawahiri leur sont confiées, mais les attentats sont déjoués et les enfants-espions, appréhendés. Zawahiri instaure un tribunal de la charia. Plusieurs terroristes s’y opposent, estimant que juger des enfants serait contraire à l’islam. Mais Zawahiri n’en a remedy. Il fait abattre les deux garçons, condamnés pour sodomie et trahison, filme les aveux et l’exécution, et distribue les bandes en guise d’avertissement à tous ceux qui envisageraient de le trahir… Tel était l’impitoyable docteur Zawahiri.
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